« Le Pirée, port d’Athènes, Vème siècle avant notre ère.
Socrate s’apprête à rentrer chez lui quand des jeunes gens le contraignent à rester pour les fêtes qui doivent avoir lieu cette nuit. Comme dans Le Banquet, beuveries et spectacles seront oubliés au profit d’un autre plaisir et d’une autre fête…

La Justice est en question.

Socrate raconte son entrevue avec Céphale et Polémarque. Thrasymaque, Socrate, Glaucon et Adimante s’entretiennent vivement de la justice de l’individu et de celle de l’État, semblables pour Platon.

Socrate-Platon traite donc du choix de l’éducation et de la manière de vivre des gouvernants.
Il propose la vision d’une cité idéale gouvernée par des philosophes-rois, qui, seuls, comprennent véritablement le Bien et peuvent diriger sagement.

Il introduit la théorie des Idées, où les objets sensibles ne sont que des copies imparfaites des Formes idéales, éternelles et immuables.

Il utilise la célèbre allégorie de la caverne pour illustrer l’ignorance humaine et le chemin vers la connaissance véritable et la lumière du soleil, symbolisant la vérité.
Il décrit les différents régimes politiques… »                

 Gérard Mascot (metteur en scène)

« Lisez la République de Platon. Ce n’est point un ouvrage de politique… c’est le plus beau traité d’éducation qu’on ait jamais fait »

Jean-Jacques Rousseau

« Celui qui ne perçoit pas la jubilation constante qui traverse tout propos et toute réplique d’un dialogue platonicien, la jubilation que procure la découverte nouvelle de la pensée rationnelle, que comprend-il de Platon ? »

Nietzsche